François
Montaufray
Musicien/chanteur
A SANTA MARIA
Concert de chants du Moyen Âge à Sainte Marie :
louanges à la Dame du Ciel et récits de miracles sur les nombreux chemins
de pèlerinage, le plus célèbre étant celui vers Saint Jacques de Compostelle.
Chants collectés par le roi de Castille Alfonse le Sage au 13ème siècle
et notés dans un grand chansonnier de plus 400 chants.
François Montaufray,
musicien chanteur :
luths médiévaux,
citole, cistre, qitara et oud.
Ce programme est consacré aux louanges à Sainte Marie et aux récits de miracles qu’Elle a effectués sur les nombreux chemins de pèlerinage, dont le plus célèbre, celui vers Saint Jacques de Compostelle. Ces chants collectés par le roi de Castille Alfonse le Sage au 13ème siècle sont notés dans un grand chansonnier de 424 chants. Ils permettent de chanter chaque jour un nouveau chant en hommage à Sainte Marie. Au 13ème siècle, les jongleurs, interprètes des trouvères (compositeurs des chansons), rendaient hommage à la Dame de l’amour courtois. Et c’est souvent sur les mêmes airs qu’ils célébraient la Dame du Ciel. Car dans l’esprit du Moyen Âge, il n’y a pas de frontière infranchissable entre le ciel et la terre, la Dame aimée et le Dame céleste. Endossant le rôle de jongleur, François Montaufray présente une dizaine de ces chants en les accompagnant d’instruments de musique à cordes pincées qui sont les reconstitutions exactes de leurs ancêtres du Moyen Âge.
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Chansons d’amour
et autres chants des trouvères du Moyen Âge
Sur les traces de l’art des troubadours, se développe au nord de la France au 12ème et au 13ème siècle les chants des trouvères célébrant l’amour courtois. Blondel de Nesles, Richard de Semilli, Gillebert de Berneville sont parmi les plus célèbres compositeurs de cette époque. Ce concert propose un voyage dans cet univers merveilleux où les chevaliers et seigneurs suivaient les traces de Lancelot, Tristan, Gauvain ou Perceval. De nombreux exploits étaient nécessaires pour attirer les bonnes grâces de la Dame bien aimée. Mais ces efforts n’étaient pas toujours payés en retour. Aussi de nombreux chants parlent des amours déçus, des amoureux éconduits ou des amants trahis par les médisants.
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François Montaufray,
musicien chanteur :
luth médiéval à bourdons,
citole, cistre et luth roman.
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Pièces instrumentales du Moyen Âge
Peu de pièces instrumentales nous sont parvenues du Moyen Âge occidental. Il s’agit essentiellement de danses, et les premières datent de la fin du 13ème siècle. Ce programme présente un éventail de ce qui nous est parvenu, du 13ème au 15ème siècle : estampie, ductia, rotta, rondeau, basse danse. Et pour le 12ème siècle deux danses arabo-andaloues. Tous ces morceaux sont joués sur des instruments à cordes pincées reconstitués d’après les sources des différentes époques de leur composition.
Oud oriental, oud égyptien à bourdons, qitara arabo-normande, luth roman, cistre, luth de Memling, guiterne.
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Dix chants et danses du Moyen Âge
accompagnés par dix différents instruments à cordes pincées reconstitués d’après les sources médiévales des différentes périodes médiévales : chant, jeu et présentation des instruments
1/Rondellus : anonyme. En SOL. Cistre/dulcimer.
2/La danse de Clèves : manuscrit des basses danses de Marie de Bourgogne. En RE. Luth de Memling.
3/Danse real : anonyme, manuscrit du roi. En RE. Guiterne.
4/Sic mea fata : carmina burana n°11 : en SOL. Cistre
5/Amours me fait comencier : Thibault de Champagne, chansonnier du roi. En FA. Luth médiéval à bourdons.
6/De muitas guisas : Alfonse le Sage, cantiga de Santa Maria n°58, bibliothèque de l’Escurial. En SOL. Citole.
7/Chanson ferai plein d’ire : Richard de Semilli, bibliothèque de l’Arsenal.
En RE. Luth roman.
8/Quar eüsse je : Pistoleta, chansonnier provençal. En RE. Luth maurache.
9/Se savoient mon torment : Blondel de Nesle, chansonnier Clarambaut.
En RE. Qitara arabo-normande.
10/Li habiboun : danse arabo-andaloue. Oud oriental.
Dulcimer, luth de Memling, guiterne, cistre, luth médiéval à bourdons, citole, luth roman, luth maurache, qitara arabo-normande, Oud oriental.